عَنْ عُرْوَةَ بْنِ الزُّبَيْرِ قَالَ: كَانَ بِالْمَدِينَةِ رَجُلَانِ أَحَدُهُمَا يَلْحَدُ وَالْآخَرُ لَا يَلْحَدُ. فَقَالُوا: أَيُّهُمَا جَاءَ أَوَّلًا عَمِلَ عَمَلَهُ. فَجَاءَ الَّذِي يَلْحَدُ فَلَحَدَ لِرَسُولِ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ. رَوَاهُ فِي شَرْحِ السّنة
Traduction

Ja’far b. Mohammed a raconté sous forme mursale sur l’autorité de son père que le Prophète a jeté trois poignées de terre sur les morts avec les deux mains, qu’il a aspergé d’eau la tombe de son fils Ibrahim et qu’il y a mis de petits cailloux. Il est transmis dans Sharh as-sunna, et Shafi’i transmis de « il a arrosé ».