عَنْ عَلِيٍّ رَضِيَ اللَّهُ عَنْهُ قَالَ: سَمِعْتُ رَسُولَ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ يَقُولُ: مَا مِنْ مُسْلِمٍ يَعُودُ مُسْلِمًا غُدْوَةً إِلَّا صَلَّى عَلَيْهِ سَبْعُونَ أَلْفَ مَلَكٍ حَتَّى يُصْبِحَ وَكَانَ لَهُ خَرِيفٌ فِي الْجَنَّةِ ". رَوَاهُ التِّرْمِذِيُّ وَأَبُو دَاوُد
Traduction

'Ali b. Zaid a cité Umayya disant qu’elle a demandé à 'A’isha les paroles de Dieu qui est grand et glorieux : « Que tu publies ce qui est dans ton esprit ou que tu le dissimules, Dieu te demandera des comptes » (Coran, ii, 284) et Ses paroles : « Si quelqu’un fait le mal, il en sera rétribué. » (Coran, iv, 123). Elle répondit que personne ne lui avait posé de questions à ce sujet depuis qu’elle avait demandé au messager de Dieu et qu’elle avait reçu la réponse : « C’est la réprimande de Dieu contre son serviteur, au moyen de la fièvre ou du malheur dont il l’afflige, même une chose qu’il met dans sa manche et dont il s’afflige quand il la perd. Le résultat est que le serviteur sort de ses péchés comme l’or pur sort du creuset. Tirmidhi l’a transmise.