عَن أنس قَالَ: كَانَ غُلَامٌ يَهُودِيٌّ يَخْدُمُ النَّبِيَّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ فَمَرِضَ فَأَتَاهُ النَّبِيُّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ يَعُودُهُ فَقَعَدَ عِنْدَ رَأْسِهِ فَقَالَ لَهُ: «أَسْلِمْ» . فَنَظَرَ إِلَى أَبِيهِ وَهُوَ عِنْدَهُ فَقَالَ: أَطِعْ أَبَا الْقَاسِمِ. فَأَسْلَمَ. فَخَرَجَ النَّبِيُّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ وَهُوَ يَقُولُ: «الْحَمْدُ لِلَّهِ الَّذِي أَنْقَذَهُ مِنَ النَّارِ» . رَوَاهُ البُخَارِيّ
Traduction
Yahya b. Sa’id a dit que lorsqu’un certain homme est mort à l’époque du messager de Dieu, un autre a dit : « Félicitations à lui ! Il est mort sans avoir été atteint de la maladie. Le messager de Dieu a alors dit : « Je suis désolé pour vous. Qu’en savez-vous ? (littéralement, 'Qu’est-ce qui vous fait savoir ?' Après cela, on comprend des mots tels que : « Cette absence de maladie est une marque d’honneur ». Si seulement Dieu l’avait affligé de la maladie, et qu’elle l’eût expié de ses mauvaises actions ! Malik l’a transmis sous forme de mursal.