عَن أنس قَالَ: كَانَ غُلَامٌ يَهُودِيٌّ يَخْدُمُ النَّبِيَّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ فَمَرِضَ فَأَتَاهُ النَّبِيُّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ يَعُودُهُ فَقَعَدَ عِنْدَ رَأْسِهِ فَقَالَ لَهُ: «أَسْلِمْ» . فَنَظَرَ إِلَى أَبِيهِ وَهُوَ عِنْدَهُ فَقَالَ: أَطِعْ أَبَا الْقَاسِمِ. فَأَسْلَمَ. فَخَرَجَ النَّبِيُّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ وَهُوَ يَقُولُ: «الْحَمْدُ لِلَّهِ الَّذِي أَنْقَذَهُ مِنَ النَّارِ» . رَوَاهُ البُخَارِيّ
Copier

Shaqiq a dit qu’il a rendu visite à 'Abdallah b. Mas’ud quand il fut malade, et il se mit à pleurer. Ayant été réprimandé par quelqu’un, il a dit : « Je ne pleure pas à cause de la maladie, parce que j’ai entendu le messager de Dieu dire que la maladie est une expiation ; Je pleure simplement parce qu’elle m’est venue quand mes forces étaient affaiblies et qu’elle n’est pas venue quand j’étais actif, parce qu’un serviteur de Dieu a enregistré pour lui, quand il est malade, une récompense telle qu’elle avait été enregistrée pour lui avant qu’il ne devienne malade et que la maladie l’empêchait de faire [de bonnes actions]. Razln l’a transmise.