عَن أنس قَالَ: كَانَ غُلَامٌ يَهُودِيٌّ يَخْدُمُ النَّبِيَّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ فَمَرِضَ فَأَتَاهُ النَّبِيُّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ يَعُودُهُ فَقَعَدَ عِنْدَ رَأْسِهِ فَقَالَ لَهُ: «أَسْلِمْ» . فَنَظَرَ إِلَى أَبِيهِ وَهُوَ عِنْدَهُ فَقَالَ: أَطِعْ أَبَا الْقَاسِمِ. فَأَسْلَمَ. فَخَرَجَ النَّبِيُّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ وَهُوَ يَقُولُ: «الْحَمْدُ لِلَّهِ الَّذِي أَنْقَذَهُ مِنَ النَّارِ» . رَوَاهُ البُخَارِيّ
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Anas rapporta que le messager de Dieu avait dit : « Une visite doit durer aussi longtemps que le temps entre les deux traites d’une chamelle. » (Il s’agit de la pratique consistant à tirer un peu de lait de la chamelle, puis à la laisser un peu pour que ses petits tètent du lait. Lorsqu’elle a ensuite laissé couler son lait abondamment, elle a été traite à nouveau.) Dans la version de Sa’id b. al-Musayyib sous forme de mursal, il est dit : « Le meilleur type de visite de malade est quand on se lève et part bientôt. » (Bien que cela soit plus explicite pour quelqu’un qui n’est pas familier avec la traite des chameaux, le sens est le même que dans la forme donnée par Anas.) Baihaqi l’a transmis à Shu’ab al-iman.