عَن أنس قَالَ: كَانَ غُلَامٌ يَهُودِيٌّ يَخْدُمُ النَّبِيَّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ فَمَرِضَ فَأَتَاهُ النَّبِيُّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ يَعُودُهُ فَقَعَدَ عِنْدَ رَأْسِهِ فَقَالَ لَهُ: «أَسْلِمْ» . فَنَظَرَ إِلَى أَبِيهِ وَهُوَ عِنْدَهُ فَقَالَ: أَطِعْ أَبَا الْقَاسِمِ. فَأَسْلَمَ. فَخَرَجَ النَّبِيُّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ وَهُوَ يَقُولُ: «الْحَمْدُ لِلَّهِ الَّذِي أَنْقَذَهُ مِنَ النَّارِ» . رَوَاهُ البُخَارِيّ
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'Abdallah b. 'Amr a dit que lorsqu'un homme né à Médine y mourait, le Prophète priait lors de ses funérailles et disait : « Si seulement il était mort ailleurs que dans son lieu de naissance ! Lorsqu'on lui a demandé pourquoi il avait dit cela, il a répondu : « Lorsqu'un homme meurt ailleurs que dans son lieu de naissance, un espace lui sera mesuré au paradis égal à la distance entre son lieu de naissance et le lieu où il est mort. Nasa’I et Ibn Majah l’ont transmis.