Abu Huraira a rapporté que le messager de Dieu a dit : « Les anges sont présents avec celui qui meurt, et si un homme est bon, ils disent : 'Sors, bonne âme, qui était dans le bon corps ; sors dignes de louanges et soyez heureux du repos et de la provision et d’un Seigneur qui ne se fâche pas. On continue à le dire jusqu’à ce que cela sorte. Il est ensuite emmené au ciel et la porte lui est ouverte. On demande aux anges qui c’est et on répond qu’il est ceci et cela, sur quoi ces paroles sont prononcées : « Bienvenue, bonne âme qui était dans le bon corps ; entrez digne de louange et soyez heureux avec du repos et des provisions (Cf. Coran, lvi, 89) et un Seigneur qui ne se met pas en colère. Cela continue à lui être dit jusqu’à ce qu’il arrive au ciel où Dieu se trouve. Mais quand il s’agit d’un homme mauvais, ce qu’on dit, c’est : Sortez, âme méchante qui était dans le corps méchant ; sortir blâmables et être attristés par un liquide bouillant, sombre et intensément froid (cf. Coran, xxxviii, 57) et d’autres espèces de ce genre. On continue à le dire jusqu’à ce que cela sorte. Il est ensuite emmené au ciel et la porte lui est ouverte. On demandera qui c’est et on répondra que c’est ceci ou cela, sur quoi ces paroles sont prononcées : « Il n’y a pas d’accueil pour l’âme méchante qui était dans le corps méchant ; retourne blâmé, car les portes du ciel ne t’seront pas ouvertes. Il sera alors renvoyé du ciel et viendra au tombeau. Ibn Majah l’a transmise.