'Abd ar-Rahman b. Ka’b a raconté, sur l’autorité de son père, que lorsque la mort est arrivée à Ka’b, (Ibn Majah dans Jana’iz. 4 donne Ka’b b. Malik.) Umm Bishr, fille d’al-Bara' b. Ma’rur lui rendit visite et lui dit : « Abou 'Abd ar-Rahman, si tu rencontres untel ou untel, salue-le de ma part. » Il a répondu : « Dieu te pardonne, Umm Bishr, je serai trop occupé pour faire cela. » Elle a dit : « Abou 'Abd ar-Rahman, n’as-tu pas entendu le messager de Dieu dire que les âmes des croyants sont en oiseaux verts qui sont suspendus et se nourrissent (L’arabe utilise ta’luqu suivi de bi. Mirqat explique le sens dans le sens donné ci-dessus) les arbres du paradis ? Lorsqu’il lui répondit que c’était le cas, elle dit que c’était ce qu’elle voulait dire. Ibn Majah et BaihaqI, dans Kitab ul-ba’th wannushur, l’ont transmise.