عَن أُمِّ كُرْزٍ قَالَتْ: سَمِعْتُ رَسُولَ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ يَقُولُ: «أَقِرُّوا الطَّيْرَ عَلَى مَكِنَاتِهَا» . قَالَتْ: وَسَمِعْتُهُ يَقُولُ: «عَنِ الْغُلَامِ شَاتَانِ وَعَنِ الْجَارِيَةِ شَاةٌ وَلَا يَضُرُّكُمْ ذُكْرَانًا كُنَّ أَوْ إِنَاثًا» . رَوَاهُ أَبُو دَاوُد وللترمذي وَالنَّسَائِيّ من قَوْله: يَقُول: «عَن الْغُلَام» إِلَّا آخِره وَقَالَ التِّرْمِذِيّ: هَذَا صَحِيح
                                
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                        Al-Hasan a cité Samura qui a rapporté que le messager de Dieu a dit : « Un garçon est en gage pour sa 'aqiqa. Le septième jour, on lui fait un sacrifice, on lui donne un nom et on lui rase la tête. Ahmad, Tirmidhi, Abou Dawud et Nasa’i l’ont transmis, mais les deux derniers ont « un gage » pour « en gage ». Une version d’Ahmad et Abou Dawud a « est maculé de sang » 1 au lieu de « on lui donne un nom ». Abu Dawud dit que « on lui donne un nom » est plus sain.