عَن بُريدةَ قَالَ: كُنَّا فِي الْجَاهِلَيَّةِ إِذَا وُلِدَ لِأَحَدِنَا غلامٌ ذَبَحَ شاةٌ ولطَّخَ رأسَه بدمه فَلَمَّا جَاءَ الْإِسْلَامُ كُنَّا نَذْبَحُ الشَّاةَ يَوْمَ السَّابِعِ وَنَحْلِقُ رَأْسَهُ وَنُلَطِّخُهُ بِزَعْفَرَانٍ. رَوَاهُ أَبُو دَاوُد وَزَاد رزين: ونُسمِّيه
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Buraida a dit

Lorsqu’un garçon est né de l’un d’entre nous à l’époque préislamique, il a sacrifié un mouton et s’est enduit la tête de son sang ; mais quand l’Islam est venu, nous avons sacrifié un mouton le septième jour, nous lui avons rasé la tête et l’avons enduite de safran. Abou Dawud l’a transmise, et Razin a ajouté : « et lui a donné son nom. »