عَن المِسْوَرِ وَمَرْوَانَ: أَنَّهُمُ اصْطَلَحُوا عَلَى وَضْعِ الْحَرْبِ عَشْرَ سِنِينَ يَأْمَنُ فِيهَا النَّاسُ وَعَلَى أَنَّ بَيْنَنَا عَيْبَةً مَكْفُوفَةً وَأَنَّهُ لَا إِسْلَالَ وَلَا إِغْلَالَ. رَوَاهُ أَبُو دَاوُد
Traduction
Umaima, fille de Ruqaiqa, a dit :
J’ai prêté serment d’allégeance au Prophète avec quelques femmes et il nous a dit : « Dans la mesure de vos capacités et de vos capacités. » J’ai dit : « Dieu et Son messager sont plus miséricordieux envers nous que nous ne le sommes envers nous-mêmes. » J’ai demandé au Messager de Dieu de ratifier notre alliance, c’est-à-dire de nous serrer la main, mais il m’a répondu : « Je dis la même chose à cent femmes qu’à une seule. » l’a transmise. Le nom de la collection de traditions où l’on le trouve est omis. cf. Nasa’i, Bai’a, 18 ; Ibn Majah, Jihad, 43 ; Ahmad b. Hanbal, vi, p. 357 ; Malik, Muwatta', Bai’a, 1.