Lorsque 'Umar b. al-Khattab envoya ses gouverneurs, il leur posa la condition qu’ils ne monteraient pas un cheval qui n’était pas de race arabe, ni ne mangeraient de pain blanc, ne porteraient pas de beaux vêtements, ni ne fermeraient leurs portes aux besoins des gens, leur disant que s’ils faisaient l’une de ces choses, ils seraient punis par eux. Ensuite, il les accompagnait à une certaine distance. Baihaqi transmis en Shuab al iman.* Birdhaun. Ce mot est utilisé pour désigner un cheval de race pauvre, un cheval qui n’est pas de race arabe, ou plus précisément un cheval turc. Il est suggéré que la raison de la formulation est de mettre en garde les gouverneurs contre l’équitation, ce qui est un signe de fierté. L’interdiction d’une race considérée comme de seconde zone rend évident le fait de monter des chevaux de la meilleure race arabe serait un signe d’orgueil encore plus grand.