عَنْ عَبْدِ اللَّهِ بْنِ مَسْعُودٍ قَالَ: قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ:" مَا مِنْ حَاكِمٍ يَحْكُمُ بَيْنَ النَّاسِ إِلَّا جَاءَ يَوْمَ الْقِيَامَةِ وَمَلَكٌ آخِذٌ بِقَفَاهُ ثُمَّ يَرْفَعُ رَأْسَهُ إِلَى السَّمَاءِ فَإِنْ قَالَ: أَلْقِهْ أَلْقَاهُ فِي مَهْوَاةٍ أَرْبَعِينَ خَرِيفًا ". رَوَاهُ أَحْمَدُ وَابْنُ مَاجَهْ والْبَيْهَقِيُّ فِي شُعَبِ الْإِيمَان
Traduction

Saïd b. al-Musayyib a raconté qu’un musulman et un juif ont porté un différend devant 'Umar, et comme il considérait que le juif avait raison, il a prononcé un jugement en sa faveur ; mais quand le Juif lui dit : « Je jure par Dieu que tu as prononcé un juste jugement », il le frappa du fouet et lui demanda ce qui lui avait fait savoir cela. Le Juif répondit : « Je jure par Dieu que nous trouvons dans la Torah qu’aucun cadi ne juge correctement sans avoir un ange à sa droite et un ange à sa gauche qui le dirigent et le disposent à ce qui est droit tant qu’il adhère à la droite ; mais quand il abandonne la droite, ils montent et le quittent. Malik l’a transmise.