عَنْ عَبْدِ الرَّحْمَنِ بْنِ عَوْفٍ عَنِ النَّبِيِّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ قَالَ:" ثَلَاثَةٌ تَحْتَ الْعَرْشِ يَوْمَ الْقِيَامَةِ الْقُرْآنُ يُحَاجُّ الْعِبَادَ لَهُ ظَهْرٌ وَبَطْنٌ وَالْأَمَانَةُ وَالرَّحِمُ تُنَادِي: أَلَا مَنْ وَصَلَنِي وَصَلَهُ اللَّهُ وَمَنْ قَطَعَنِي قَطَعَهُ اللَّهُ ". رَوَاهُ فِي شرح السّنة
Traduction
Ibn Mas’ūd a rapporté que le messager de Dieu a dit

« Si quelqu’un récite une lettre du Livre de Dieu, il sera crédité d’une bonne action, et une bonne action recevra une récompense décuplée » (Al-Qur’ân, 6:160). Je ne dis pas que A.L.M est une lettre, mais alif est une lettre, lām est une lettre et mīm est une lettre. » Ces lettres apparaissent au début des sūras 2, 3, 29, 30, 31 et 32. Aucune explication satisfaisante de leur signification n’a été donnée. Une brève discussion à leur sujet est donnée par Abdullāh Yūsuf Ali dans The Holy Qur’ān, Text, Translation & Commentary (Lahore, 1934 et éditions ultérieures), note 25. Mer aussi pp. 118-120.Tirmidhī et Dārimī l’ont transmis, Tirmidhī disant qu’il s’agit d’une tradition hasan sahīh dont l’isnad est gharīb.