عَن ابْنِ عَبَّاسٍ قَالَ: صَلَّى رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ بِذِي الْحُلَيْفَةِ ثُمَّ دَعَا بِنَاقَتِهِ فَأَشْعَرَهَا فِي صَفْحَةِ سَنَامِهَا الْأَيْمَنِ وَسَلَّتَ الدَّمَ عَنْهَا وَقَلَّدَهَا نَعْلَيْنِ ثُمَّ رَكِبَ رَاحِلَتَهُ فَلَمَّا اسْتَوَتْ بِهِ على الْبَيْدَاء أهل بِالْحَجِّ. رَوَاهُ مُسلم
Traduction
'A’isha a dit

J’ai tordu de mes propres mains les guirlandes des chameaux sacrificiels du Prophète, après quoi il les a guirlandes, les a marquées et les a envoyées en offrande, et rien de ce qui lui avait été licite n’est devenu interdit. (Lorsque quelqu’un n’accomplit pas le pèlerinage, il n’est pas soumis aux restrictions applicables aux pèlerins jusqu’au jour du sacrifice.) Bukhari et Muslim.