عَنْ عَبْدِ اللَّهِ بْنِ عُمَرَ: أَنَّ رَجُلًا سَأَلَ رَسُولَ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: مَا يلبس مِنَ الثِّيَابِ؟ فَقَالَ: «لَا تَلْبَسُوا الْقُمُصَ وَلَا الْعَمَائِمَ وَلَا السَّرَاوِيلَاتِ وَلَا الْبَرَانِسَ وَلَا الْخِفَافَ إِلَّا أَحَدٌ لَا يَجِدُ نَعْلَيْنِ فَيَلْبَسُ خُفَّيْنِ وليقطعهما أَسْفَل الْكَعْبَيْنِ وَلَا تَلْبَسُوا مِنَ الثِّيَابِ شَيْئًا مَسَّهُ زَعْفَرَانٌ وَلَا وَرْسٌ» . مُتَّفَقٌ عَلَيْهِ وَزَادَ الْبُخَارِيُّ فِي رِوَايَةٍ: «وَلَا تَنْتَقِبُ الْمَرْأَةُ الْمُحْرِمَةُ وَلَا تلبس القفازين»
Traduction
Ya’la b. Umayya (Umayya était la mère de Ya’la) a dit
Lorsque nous étions avec le Prophète à al-Ji’rana, un Arabe du désert est venu à lui vêtu d’une tunique qui était abondamment parfumée (littéralement « abondamment enduite de khaluq ». Il s’agit d’un parfum composé de safran et d’autres éléments, le jaune et le rouge étant les couleurs prédominantes) et a dit : « Messager de Dieu, je suis entré dans l’état sacré pour la 'umra en portant ceci. » Il répondit : « Lavez trois fois le parfum qui est sur vous, ôtez la tunique, puis faites dans votre 'umra comme vous le faites dans votre hajj. » Bukhari et Muslim.