عَنِ ابْنِ عُمَرَ: أَنَّهُ سَمِعَ رَسُولَ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ يَنْهَى النِّسَاءَ فِي إِحْرَامِهِنَّ عَنِ الْقُفَّازَيْنِ وَالنِّقَابِ وَمَا مَسَّ الْوَرْسُ وَالزَّعْفَرَانُ مِنَ الثِّيَابِ وَلْتَلْبَسْ بَعْدَ ذَلِكَ مَا أحبَّتْ من ألوانِ الثيابِ معصفر أوخز أَو حلي أَو سروايل أَو قميصٍ أَو خُفٍّ. رَوَاهُ أَبُو دَاوُد
Traduction
'A’isha a dit
Les cavaliers passaient devant nous lorsque nous accomplissions les rites du pèlerinage avec le messager de Dieu, et lorsqu’ils venaient à côté de nous, l’un de nous laissait tomber son vêtement extérieur de sa tête sur son visage, et lorsqu’ils étaient passés, nous découvrions nos visages. Abou Dawoud l’a transmise, et Ibn Majah a quelque chose dans le même sens.