عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ: أَنَّ رَسُولَ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ نَهَى أَنْ تُنْكَحَ الْمَرْأَةُ عَلَى عَمَّتِهَا أَوِ الْعَمَّةُ عَلَى بِنْتِ أَخِيهَا وَالْمَرْأَةُ عَلَى خَالَتِهَا أَوِ الْخَالَةُ عَلَى بِنْتِ أُخْتِهَا لَا تُنْكَحُ الصُّغْرَى عَلَى الْكُبْرَى وَلَا الْكُبْرَى عَلَى الصُّغْرَى. رَوَاهُ التِّرْمِذِيُّ وَأَبُو دَاوُدَ والدارمي وَالنَّسَائِيّ وَرِوَايَته إِلَى قَوْله: بنت أُخْتهَا
Traduction
Abu Huraira a dit que le Messager de Dieu a interdit qu’une femme soit mariée à quelqu’un qui avait épousé sa tante paternelle, ou une tante paternelle à quelqu’un qui avait épousé la fille de son frère, ou une femme à quelqu’un qui avait épousé sa tante maternelle, ou une tante maternelle à quelqu’un qui avait épousé la fille de sa sœur. Une sœur cadette ne doit pas être mariée à quelqu’un qui a épousé une sœur aînée, ni une sœur aînée à quelqu’un qui a épousé une sœur cadette. Tirmidhi, Abu Dawud, Darimi et Nasa’i l’ont transmise, la version de Nasa’i se terminant par « la fille de sa sœur ».