عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ: أَنَّ رَسُولَ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ نَهَى أَنْ تُنْكَحَ الْمَرْأَةُ عَلَى عَمَّتِهَا أَوِ الْعَمَّةُ عَلَى بِنْتِ أَخِيهَا وَالْمَرْأَةُ عَلَى خَالَتِهَا أَوِ الْخَالَةُ عَلَى بِنْتِ أُخْتِهَا لَا تُنْكَحُ الصُّغْرَى عَلَى الْكُبْرَى وَلَا الْكُبْرَى عَلَى الصُّغْرَى. رَوَاهُ التِّرْمِذِيُّ وَأَبُو دَاوُدَ والدارمي وَالنَّسَائِيّ وَرِوَايَته إِلَى قَوْله: بنت أُخْتهَا
Traduction
Hajjaj b. Hajjaj al-Aslami a cité son père disant : « Messager de Dieu, qu’est-ce qui m’enlèvera l’obligation d’élever un enfant ? » Il répondit : « Un esclave ou une esclave de bonne qualité. » On dit que les Arabes aimaient donner à une femme qui avait élevé un enfant quelque chose de plus que l’embauche. Cette tradition porte sur le montant à considérer comme une compensation intégrale pour services rendus. Tirmidhi, Abu Dawud, Nasa’i et Darimi l’ont transmis.