Hilal b. Umayya accusa sa femme en présence du Prophète d’avoir commis l’adultère avec Sharik b. Sahma'. Lorsque le Prophète lui a dit qu’il devait produire des preuves ou recevoir une punition sur son dos, il a dit : « Messager de Dieu, quand l’un de nous voit un homme avoir des rapports sexuels avec sa femme, doit-il aller chercher des preuves ? » Mais le Prophète a simplement répondu qu’il devait produire des preuves ou recevoir une punition sur le dos. Hilal dit alors : « Par celui qui t’a envoyé avec la vérité, je dis vrai. Que Dieu fasse descendre quelque chose qui libérera mon dos du châtiment ! Alors Gabriel descendit et descendit vers lui : « Et ceux qui portent des accusations contre leurs épouses », récitant jusqu’à ce qu’il atteigne : « S’il est de ceux qui disent la vérité » (Coran 24:6-9). Puis Hilal est venu et a rendu témoignage et le Prophète a dit : « Dieu sait que l’un de vous ment. L’un de vous se repentira-t-il ? Puis la femme s’est levée et a témoigné, mais quand elle était sur le point de le faire une cinquième fois, ils l’ont arrêtée et lui ont dit que ce serait la décision qui serait prise. Ibn 'Abbas a raconté qu’elle a alors hésité et s’est retirée, de sorte qu’ils pensaient qu’elle renonçait à ce qu’elle avait dit ; mais par la suite, elle dit : « Je ne déshonorerai pas mon peuple pour toujours », et elle continua sa déclaration. Le Prophète leur a dit de regarder et de voir si elle avait donné naissance à un enfant avec des yeux qui semblaient avoir de l’antimoine en eux, des fesses larges et des jambes grasses, car si elle le faisait, Sharik b. Sahma' serait son père. Puis, lorsqu’elle a donné naissance à un enfant de cette description, le Prophète a dit : « Sans ce qui a déjà été dit dans le Livre de Dieu, je l’aurais traitée sévèrement. » Bukhari l’a transmise.