عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ أَنَّهُ سَمِعَ النَّبِيَّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ يَقُولُ لَمَّا نَزَلَتْ آيَةُ الْمُلَاعَنَةِ: «أَيُّمَا امْرَأَةٍ أَدْخَلَتْ عَلَى قَوْمٍ مَنْ لَيْسَ مِنْهُمْ فَلَيْسَتْ مِنَ اللَّهِ فِي شَيْءٍ وَلَنْ يُدْخِلَهَا اللَّهُ جَنَّتَهُ وَأَيُّمَا رَجُلٍ جَحَدَ وَلَدَهُ وَهُوَ يَنْظُرُ إِلَيْهِ احْتَجَبَ اللَّهُ مِنْهُ وفضَحَهُ على رؤوسِ الْخَلَائِقِ فِي الْأَوَّلِينَ وَالْآخِرِينَ» . رَوَاهُ أَبُو دَاوُدَ وَالنَّسَائِيّ والدارمي
Traduction
Ibn 'Abbas a raconté qu'un homme est venu voir le Prophète et lui a dit : « J'ai une femme qui ne rejette personne qui souhaite avoir des relations sexuelles avec elle », mais quand il lui a dit de divorcer, il a répondu qu'il l'aimait, alors il lui a dit que dans ce cas, il devrait la garder. Abu Dawud et Nasa'i l'ont transmis, Nasa'i disant que l'un des émetteurs l'a retracé jusqu'à Ibn 'Abbas et que ce n'est pas le cas, ajoutant que cette tradition n'est pas bien établie.