عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ أَنَّهُ سَمِعَ النَّبِيَّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ يَقُولُ لَمَّا نَزَلَتْ آيَةُ الْمُلَاعَنَةِ: «أَيُّمَا امْرَأَةٍ أَدْخَلَتْ عَلَى قَوْمٍ مَنْ لَيْسَ مِنْهُمْ فَلَيْسَتْ مِنَ اللَّهِ فِي شَيْءٍ وَلَنْ يُدْخِلَهَا اللَّهُ جَنَّتَهُ وَأَيُّمَا رَجُلٍ جَحَدَ وَلَدَهُ وَهُوَ يَنْظُرُ إِلَيْهِ احْتَجَبَ اللَّهُ مِنْهُ وفضَحَهُ على رؤوسِ الْخَلَائِقِ فِي الْأَوَّلِينَ وَالْآخِرِينَ» . رَوَاهُ أَبُو دَاوُدَ وَالنَّسَائِيّ والدارمي
Traduction
'Amr b. Shu’aib, sur l’autorité de son père, raconta que son grand-père avait dit

Le Prophète a décidé qu’en ce qui concerne celui qui est traité comme un membre d’une famille après la mort de son père à qui il est attribué lorsque les héritiers disent qu’il est l’un d’entre eux, que s’il est l’enfant d’une femme esclave que le père possédait lorsqu’il a eu des rapports sexuels avec elle, il est inclus parmi ceux qui cherchent son inclusion. mais il n’obtient rien de l’héritage qui a été précédemment partagé ; il reçoit cependant sa part de l’héritage qui n’a pas encore été divisé, mais si le père à qui on l’attribue l’a renié, il n’est pas uni aux héritiers. S’il est l’enfant d’une esclave que le père n’a pas possédée ou d’une femme libre avec laquelle il a eu des rapports illicites, il n’est pas uni aux héritiers et n’hérite pas, même si celui à qui on l’attribue est celui qui en revendique la paternité, car il est un enfant de la fornication, que sa mère ait été libre ou esclave. Abou Dawud l’a transmis.*Mirqat 3:506 explique cela comme une référence à ce qui s’était passé dans la période préislamique.