عَن سُليمانَ بنِ يَسارٍ: أَنَّ الْأَحْوَصَ هَلَكَ بِالشَّامِ حِينَ دَخَلَتِ امْرَأَتُهُ فِي الدَّمِ مِنَ الْحَيْضَةِ الثَّالِثَةِ وَقَدْ كَانَ طَلَّقَهَا فَكَتَبَ مُعَاوِيَةُ بْنُ أَبِي سُفْيَانَ إِلَى زَيْدِ بْنِ ثَابِتٍ يَسْأَلُهُ عَنْ ذَلِكَ فَكَتَبَ إِلَيْهِ زِيدٌ: إِنَّهَا إِذَا دَخَلَتْ فِي الدَّمِ مِنَ الْحَيْضَةِ الثَّالِثَةِ فَقَدْ بَرِئَتْ مِنْهُ وَبَرِئَ مِنْهَا لَا يرِثُها وَلَا ترِثُه. رَوَاهُ مَالك
Traduction
Sa’id b. al-Musayyib a rapporté que 'Umar b. al-Khattab a dit : « Si une femme est divorcée et a une ou deux menstruations puis cesse d’avoir ses règles, elle doit attendre neuf mois, et s’il est évident qu’elle est enceinte, les règles à ce sujet sont appliquées ; sinon, elle doit observer une période de trois mois après l’expiration des neuf mois, après laquelle elle peut légalement se remarier. Malik l’a transmise.