عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ قَالَ: قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «الْمَعِدَةُ حَوْضُ الْبَدَنِ وَالْعُرُوقُ إِلَيْهَا وَارِدَةٌ فَإِذَا صَحَّتِ الْمَعِدَةُ صَدَرَتِ الْعُرُوقُ بِالصِّحَّةِ وَإِذَا فَسَدَتِ الْمَعِدَةُ صَدَرَتِ الْعُرُوقُ بِالسقمِ»
Traduction
'Ali a dit

Une nuit, alors que le messager de Dieu priait, il posa sa main sur le sol et fut piqué par un scorpion, alors il le frappa avec sa sandale et le tua. Puis, quand il s’en alla, il dit : « Que Dieu maudisse le scorpion ! Il ne laisse pas seul celui qui prie ou quelqu’un d’autre, ou un prophète ou quelqu’un d’autre. Il demanda alors du sel et de l’eau, et le mettant dans un récipient, il commença à le verser sur son doigt où il l’avait piqué et à l’essuyer, cherchant refuge en Dieu en récitant le Mu’awwidhatan. Baihaqi a transmis les deux traditions dans Shu’ab al-iman.