عَنْ سَلْمَانَ قَالَ: قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «لَا يَغْتَسِلُ رَجُلٌ يَوْمَ الْجُمُعَةِ وَيَتَطَهَّرُ مَا اسْتَطَاعَ مِنْ طُهْرٍ وَيَدَّهِنُ مِنْ دُهْنِهِ أَوْ يَمَسُّ مِنْ طِيبِ بَيْتِهِ ثُمَّ يَخْرُجُ فَلَا يُفَرِّقُ بَيْنَ اثْنَيْنِ ثُمَّ يُصَلِّي مَا كُتِبَ لَهُ ثُمَّ يُنْصِتُ إِذَا تَكَلَّمَ الْإِمَامُ إِلَّا غُفِرَ لَهُ مَا بَيْنَهُ وَبَين الْجُمُعَة الْأُخْرَى» . رَوَاهُ البُخَارِيّ
Traduction

Il a rapporté que le Messager de Dieu a dit : « Si quelqu’un fait ses ablutions, s’il les fait bien, puis vient à la prière du vendredi, écoute et garde le silence, ses péchés entre ce moment-là et le vendredi suivant lui seront pardonnés, avec trois jours supplémentaires ; mais celui qui touche les cailloux a causé une interruption (lagha). * * Il s’agit de petites pierres que l’on enlève pendant que l’on s’adonne à la salat. Alors que Bukhari, al-'amal fis salat, 8 ans, donne une tradition qui permet d’aplanir le sol une seule fois, cette tradition traite la question comme inappropriée. En ce qui concerne cette tradition, Lisan al-'Arab, 22:118, dit que lagha signifie « il a parlé », ou « s’est écarté de ce qui est juste », ou « a été frustré », ajoutant que le premier est le sens fondamental. L’idée est évidemment que celui qui fait un son en enlevant de petites pierres pendant la prière a empêché quelqu’un d’entendre. Cf. Coran, 41:26.