عَنْ سَلْمَانَ قَالَ: قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «لَا يَغْتَسِلُ رَجُلٌ يَوْمَ الْجُمُعَةِ وَيَتَطَهَّرُ مَا اسْتَطَاعَ مِنْ طُهْرٍ وَيَدَّهِنُ مِنْ دُهْنِهِ أَوْ يَمَسُّ مِنْ طِيبِ بَيْتِهِ ثُمَّ يَخْرُجُ فَلَا يُفَرِّقُ بَيْنَ اثْنَيْنِ ثُمَّ يُصَلِّي مَا كُتِبَ لَهُ ثُمَّ يُنْصِتُ إِذَا تَكَلَّمَ الْإِمَامُ إِلَّا غُفِرَ لَهُ مَا بَيْنَهُ وَبَين الْجُمُعَة الْأُخْرَى» . رَوَاهُ البُخَارِيّ
Traduction

Il a rapporté que le Messager de Dieu a dit : « Quand le vendredi arrive, les anges se tiennent à la porte de la mosquée et enregistrent les gens dans l’ordre de leur arrivée. Ceux qui sortent dans la chaleur de midi1 sont traités comme celui qui offre un animal sacrificiel, 2 ensuite comme celui qui offre une vache, ensuite une brebis, puis une poule, puis un œuf. Puis, quand l’imam sort, ils plient leurs feuilles et écoutent la mention de Dieu. 1. Le mot muhajjir qui est utilisé ici peut signifier soit celui qui sort dans la chaleur de midi, soit celui qui y va tôt. 2. Le mot est badana, signifiant soit une chamelle, soit une vache qui est sacrifiée. Ici, il s’agit très probablement d’une chamelle, car d’autres animaux sont mentionnés immédiatement après. (Bukhari et Mouslim.)