Lorsque le Messager de Dieu s’est levé pour prier, il a levé les mains de manière à les amener en face de ses épaules et a dit le takbir ; puis il récita quelques vers ; Alors le takbir dit en levant les mains de manière à les amener en face de ses épaules ; puis il s’inclina, posant la paume de ses mains sur ses genoux et se tenant droit, sans lever ni baisser la tête ; puis il leva la tête en disant : « Dieu écoute celui qui le loue » ; puis il leva les mains, les plaçant exactement en face de ses épaules ; Alors dit le takbir ; puis il se prosterna à terre, écartant les bras de ses côtés et pliant les orteils ; puis il leva la tête, plia son pied gauche et s’assit dessus ; puis il adopta une position naturelle de sorte que chaque os revint correctement à sa place ; puis il se prosterna ; Puis il prononça le takbir, se leva, plia son pied gauche et s’assit dessus : puis il adopta une position naturelle de sorte que chaque os retourna à sa place ; Puis il se leva et fit la même chose que lors de la deuxième rak’a. À la fin de deux rak’as, il se leva et récita le takbir, levant les mains de manière à les amener en face de ses épaules, comme il avait dit le takbir en commençant à prier ; Puis il fit cela dans le reste de sa prière, et après le Sajda* qui est suivi du Taslim, il étendit son pied gauche et s’assit sur sa hanche gauche ; Puis il prononça le taslim. Ils dirent : « Vous avez dit la vérité. C’est ainsi qu’il avait l’habitude de prier. *c’est-à-dire la prosternationAbu Dawud et Darimi l’ont transmise. Et Tirmidhi et Ibn Majah ont transmis quelque chose dans le même sens. Tirmidhi disant que c’est une tradition hasan sahih. Puis il s’inclina et posa ses mains sur ses genoux comme s’il les serrait, et il plia les bras et les éloigna de ses côtés. Il (c’est-à-dire le narrateur) a dit qu’il s’est ensuite prosterné en posant son nez et son front sur le sol, en gardant ses bras éloignés de ses côtés, en plaçant les paumes de ses mains [sur le sol] en face de ses épaules, en gardant ses cuisses séparées et en ne laissant pas son ventre appuyer sur aucune partie de ses cuisses jusqu’à ce qu’il ait terminé ; Puis il s’assit et étendit son pied gauche, avançant l’avant de son pied droit vers sa qibla, plaçant la paume de sa main droite sur son genou droit et la paume de sa main gauche sur son genou gauche, et il pointa du doigt, c’est-à-dire de son index. Dans une autre version de lui, il est dit : Lorsqu’il s’est assis à la fin de deux rak’as, il s’est assis sur la plante de son pied gauche et a levé le droit, et après le quatrième, il a posé sa hanche gauche sur le sol et a étendu les deux pieds d’un côté. Une version d’Abu Dawud de la tradition d’Abu Humaid.