عَنِ ابْنِ عَبَّاسٍ قَالَ: قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «أُمِرْتُ أَنْ أَسْجُدَ عَلَى سَبْعَةِ أَعْظُمٍ عَلَى الْجَبْهَةِ وَالْيَدَيْنِ وَالرُّكْبَتَيْنِ وَأَطْرَافِ الْقَدَمَيْنِ وَلَا نَكْفِتَ الثِّيَاب وَلَا الشّعْر»
                                
                            Traduction
                        
                                    Maimuna a dit que lorsque le Prophète se prosternait, il gardait ses bras si loin de ses côtés que si un agneau avait voulu passer sous ses bras, il aurait pu le faire. C’est la formulation d’Abou Dawoud, comme [Baghawi] l’a expliqué dans Charh as-sunna avec son isnad. Musulman a quelque chose dans le même sens
                                
                                Elle a dit que lorsque le Prophète s’est prosterné, si un agneau avait voulu passer entre ses bras, il aurait pu le faire.