Jabir raconta qu’un voleur avait été amené au Prophète et qu’il avait dit : « Mutilez-le, alors cela a été fait. On l’a amené une deuxième fois et il a dit : « Mutilez-le », alors cela a été fait. On l’a amené une troisième fois et il a dit : « Mutile-le », alors cela a été fait. On l’a amené une quatrième fois et il a dit : « Mutilez-le », alors cela a été fait. On l’a amené une cinquième fois et il a dit : « Tue-le », alors ils l’ont emmené et l’ont tué. Ils le traînèrent et le jetèrent dans un puits et lui jetèrent des pierres. Abu Dawud et Nasa’i l’ont transmise. Dans Charh as-sunna, le Prophète aurait dit à propos de la mutilation d’un voleur : « Mutilez-le, puis cautérisez-le. » * Là où il y a eu une offense, j’ai traduit par « couper la main », mais ici, où le verbe « couper » est employé sans objet, j’ai trouvé plus commode d’employer un mot général. Dans la tradition précédente, les mains et les pieds étaient mentionnés en arabe.