عَنِ ابْنِ عُمَرَ قَالَ سُئِلَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ عَنِ الْمَاءِ يَكُونُ فِي الْفَلَاةِ مِنَ الْأَرْضِ وَمَا يَنُوبُهُ مِنَ الدَّوَابّ وَالسِّبَاع فَقَالَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «إِذَا كَانَ الْمَاءُ قُلَّتَيْنِ لَمْ يَحْمِلِ الْخَبَثَ» . رَوَاهُ أَحْمد وَأَبُو دَاوُد وَالتِّرْمِذِيّ وَالنَّسَائِيّ والدارمي وَابْنُ مَاجَهْ وَفِي أُخْرَى لِأَبِي دَاوُدَ: «فَإِنَّهُ لَا ينجس»
Traduction

Abou Zaïd a cité 'Abdallah b. Mas’ud a dit que la nuit où les djinns ont écouté le Coran, le Prophète lui a demandé ce qu’il y avait dans son récipient de peau, et quand il a répondu qu’il avait du nabidh, il a dit : « Il se compose de dattes fraîches et d’eau pure. » Après la mort d’Abu Talib, le Prophète est allé à at-Ta’if pour proclamer son message, mais il a été chassé. De retour à La Mecque, il passa une nuit dans la vallée de Nakhla et on nous dit qu’une compagnie de djinns l’écouta réciter le Coran Voir sourate lxxii. Abu Dawud l’a transmise, et Ahmad et Tirmidhi ont ajouté qu’il avait fait ses ablutions. Tirmidhi a dit qu’Abou Zaid est inconnu, et qu’il existe une tradition solide dans laquelle 'Alqama cite 'Abdallah b. Mas’ud a dit : « Je n’étais pas avec le messager de Dieu la nuit où les djinns ont écouté. » Les musulmans l’ont transmise.