عَنِ ابْنِ عُمَرَ قَالَ سُئِلَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ عَنِ الْمَاءِ يَكُونُ فِي الْفَلَاةِ مِنَ الْأَرْضِ وَمَا يَنُوبُهُ مِنَ الدَّوَابّ وَالسِّبَاع فَقَالَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «إِذَا كَانَ الْمَاءُ قُلَّتَيْنِ لَمْ يَحْمِلِ الْخَبَثَ» . رَوَاهُ أَحْمد وَأَبُو دَاوُد وَالتِّرْمِذِيّ وَالنَّسَائِيّ والدارمي وَابْنُ مَاجَهْ وَفِي أُخْرَى لِأَبِي دَاوُدَ: «فَإِنَّهُ لَا ينجس»
Traduction

Dawud b. Salih b. Dinar a cité sa mère disant que sa maîtresse l’avait envoyée à 'A’isha avec du hari a. [Un plat de viande cuite et de blé.] Elle a dit qu’elle l’avait trouvée en train de prier et qu’elle lui avait fait signe de le déposer. Un chat vint et en mangea un peu, mais quand 'Aïcha eut fini de prier, elle mangea à l’endroit où le chat avait mangé, déclarant que le messager de Dieu avait dit : « Ce n’est pas impur ; c’est l’une de celles qui font le tour de vous, ajoutant qu’elle avait vu le messager de Dieu se servir de l’eau qu’il lui restait pour faire ses ablutions. Abou Dawud l’a transmise.