عَن لبَابَة بنت الْحَارِث قَالَتْ: كَانَ الْحُسَيْنُ بْنُ عَلِيٍّ رَضِيَ اللَّهُ عَنْهُمَا فِي حِجْرِ رَسُولِ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسلم فَبَال عَلَيْهِ فَقُلْتُ الْبَسْ ثَوْبًا وَأَعْطِنِي إِزَارَكَ حَتَّى أَغْسِلَهُ قَالَ: «إِنَّمَا يُغْسَلُ مِنْ بَوْلِ الْأُنْثَى وَيُنْضَحُ مِنْ بَوْلِ الذَّكَرِ» . رَوَاهُ أَحْمَدُ وَأَبُو دَاوُدَ وَابْن مَاجَه وَفِي رِوَايَةٍ لِأَبِي دَاوُدَ وَالنَّسَائِيِّ عَنْ أَبِي السَّمْحِ قَالَ: يُغْسَلُ مِنْ بَوْلِ الْجَارِيَةِ وَيُرَشُّ من بَوْل الْغُلَام
Traduction

Umm Salama a raconté qu’une femme lui a dit qu’elle avait une jupe longue et qu’elle marchait dans des endroits sales, alors elle lui a dit que le messager de Dieu avait dit : « Ce qui vient après le purifie ». [C’est-à-dire des routes plus propres après que les endroits sales ont été dépassés.] Malik, Ahmad, Tirmidhi, Abu Dawud et Darimi l’ont transmis, les deux derniers mentionnant que la femme était une Umm walad* appartenant à Ibrahim b. 'Abd ar-Rahman b. 'Auf.*Litt. « mère d’un garçon ». Utilisé pour une esclave qui a donné un enfant à son maître, et gagne donc sa liberté lorsqu’il meurt.