عَنْ أَبِي أَيُّوبَ الْأَنْصَارِيِّ قَالَ: قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «إِذَا أَتَيْتُمُ الْغَائِطَ فَلَا تَسْتَقْبِلُوا الْقِبْلَةَ وَلَا تَسْتَدْبِرُوهَا وَلَكِنْ شَرِّقُوا أَوْ غَرِّبُوا» قَالَ الشَّيْخ الإِمَام محيي السّنة : هَذَا الْحَدِيثُ فِي الصَّحْرَاءِ وَأَمَّا فِي الْبُنْيَانِ فَلَا بَأْس لما رُوِيَ: عَن عبد الله بن عمر قَالَ: ارْتَقَيْتُ فَوْقَ بَيْتِ حَفْصَةَ لِبَعْضِ حَاجَتِي فَرَأَيْتُ رَسُولَ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ يقْضِي حَاجته مستدبر الْقبْلَة مُسْتَقْبل الشَّام
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Ibn 'Abbas a raconté que le Prophète est venu sur deux tombes et a dit : « Leurs occupants sont punis, mais pas pour un grand péché. L’un d’eux ne s’est pas empêché d’être souillé par l’urine. (Une version de Muslim a dit « ne s’est pas gardé à l’abri de l’urine ».) L’autre s’est mis à répandre la calomnie. Il prit ensuite une branche de palmier fraîche, la fendit en deux parties et en planta une sur chaque tombe. Lorsqu’on lui a demandé pourquoi il avait fait cela, il a répondu : « Peut-être que leur punition sera atténuée tant qu’ils resteront frais. » (Bukhari et Mouslim.)