Sa’id b. al-Musayyib a raconté qu’il y avait deux frères parmi les Ansar qui partageaient un héritage et que lorsque l’un d’eux a demandé à l’autre la part qui lui était due, il a répondu : « Si vous me demandez à nouveau la part qui vous est due, tous mes biens seront consacrés à la Ka’ba. » 1 'Umar, lui disant que le Ka’ba n’avait pas besoin de ses biens, lui ordonna de faire l’expiation de son serment et de parler à son frère, car il avait entendu le Messager de Dieu dire : « Un serment ou un vœu de désobéir au Seigneur, ou de rompre les liens de parenté, ou à propos de quelque chose sur lequel on n’a aucun contrôle ne t’engage pas. » Abou Dawud l’a transmise.1. Fi ritaj al-ka’ba. Cette phrase qui parle de la porte de la Ka’ba est utilisée comme une expression pour la Ka’ba elle-même.2. Mirqat, iii, 570 dit que cela signifie qu’il doit parler à son frère de la réitération de sa demande.