عَنْ عَبْدِ اللَّهِ بْنِ عَمْرٍو قَالَ: قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «لَا يَتَوَارَثُ أَهْلُ مِلَّتَيْنِ شَتَّى» . رَوَاهُ أَبُو دَاوُدَ وَابْن مَاجَه وَرَوَاهُ التِّرْمِذِيّ عَن جَابر
Traduction
'Imran b. Husain a dit

Un homme vint voir le Messager de Dieu et lui dit : « Le fils de mon fils est mort, alors qu’est-ce que je reçois de ses biens ? » Il répondit : « Tu reçois un sixième ; » puis, quand il se retourna, il l’appela et lui dit : « Tu reçois un autre sixième ; » et quand il se détourna, il l’appela et lui dit : « L’autre sixième est une allocation [au-delà de ce qui est dû] » (Il semblerait, bien que ce ne soit pas explicite, que le petit-fils avait laissé deux filles qui avaient donc droit aux deux tiers de la succession. Le grand-père n’avait droit qu’à un sixième, mais il en a reçu un autre, à titre de faveur, probablement parce qu’il n’y avait pas d’autres héritiers). Ahmad, Tirmidhi et Abu Dawud l’ont transmis, Tirmidhi disant que c’est une tradition hasan sahih.