عَن سَعْدِ بْنِ أَبِي وَقَّاصٍ قَالَ: عَادَنِي رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ وَأَنَا مَرِيضٌ فَقَالَ: «أَوْصَيْتَ؟» قُلْتُ: نَعَمْ قَالَ: «بِكَمْ؟» قُلْتُ: بِمَالِي كُلِّهِ فِي سَبِيلِ اللَّهِ. قَالَ: «فَمَا تَرَكْتَ لِوَلَدِكَ؟» قُلْتُ: هُمْ أَغْنِيَاءُ بِخَيْرٍ. فَقَالَ: «أوص بالعشر» فَمَا زَالَت أُنَاقِصُهُ حَتَّى قَالَ: «أَوْصِ بِالثُّلُثِ وَالثُّلُثُ كَثِيرٌ» . رَوَاهُ التِّرْمِذِيّ
Traduction
Il est rapporté sous forme de munqati' sur l’autorité d’Ibn 'Abbas que le Prophète a dit : « Aucun héritage ne doit être laissé à un héritier à moins que les autres héritiers ne soient agréables. » C’est la formulation d’al-Masabih, mais dans la version de Daraqutni, il a dit : « Un legs à un héritier n’est pas admissible à moins que les autres héritiers ne soient d’accord. »