عَن سَعْدِ بْنِ أَبِي وَقَّاصٍ قَالَ: عَادَنِي رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ وَأَنَا مَرِيضٌ فَقَالَ: «أَوْصَيْتَ؟» قُلْتُ: نَعَمْ قَالَ: «بِكَمْ؟» قُلْتُ: بِمَالِي كُلِّهِ فِي سَبِيلِ اللَّهِ. قَالَ: «فَمَا تَرَكْتَ لِوَلَدِكَ؟» قُلْتُ: هُمْ أَغْنِيَاءُ بِخَيْرٍ. فَقَالَ: «أوص بالعشر» فَمَا زَالَت أُنَاقِصُهُ حَتَّى قَالَ: «أَوْصِ بِالثُّلُثِ وَالثُّلُثُ كَثِيرٌ» . رَوَاهُ التِّرْمِذِيّ
Traduction
Abu Huraira a rapporté que le Messager de Dieu a dit

« Un homme et une femme agissent en obéissance à Dieu pendant soixante ans, puis, lorsqu’ils sont sur le point de mourir, ils causent du tort par leur volonté, ils doivent donc aller en enfer. » Puis Abu Huraira récita : « Après un legs que tu lègues ou une dette qui ne cause aucun dommage... ce sera le grand succès » (Coran 4:12). Ahmad, Tirmidhi, Abou Dawud et Ibn Majah l’ont transmise.