عَن طلحةَ بنِ عبيدِ اللَّهِ أَنَّ النَّبِيَّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ كَانَ إِذَا رَأَى الْهِلَالَ قَالَ: «اللَّهُمَّ أَهِلَّهُ عَلَيْنَا بِالْأَمْنِ وَالْإِيمَانِ وَالسَّلَامَةِ وَالْإِسْلَامِ رَبِّي وَرَبُّكَ اللَّهُ» . رَوَاهُ التِّرْمِذِيُّ. وَقَالَ: هَذَا حَدِيثٌ حَسَنٌ غَرِيبٌ
Traduction

'Ali a raconté qu’un esclave qui avait passé un contrat avec son maître pour payer sa liberté(1) est venu à lui et lui a dit : « Je ne peux pas remplir mon contrat, alors donne-moi de l’aide. » Il suggéra de lui enseigner des paroles qu’il avait reçues du messager de Dieu, qui seraient si efficaces que s’il avait une dette aussi grande qu’une énorme montagne, Dieu la paierait pour lui, en lui disant de dire : « Ô Dieu, accorde-moi assez de ce que tu rends licite pour que je puisse me dispenser de ce que tu rends illicite, et rends-moi capable, par ta grâce, de me dispenser de tout sauf de toi. 1. Mukatab. Bien que le terme vienne de la racine signifiant écrire, le contrat n’a pas nécessairement été écrit. Bien que le mot se réfère correctement à quelque chose d’écrit, il est utilisé pour un contrat, qu’il soit écrit ou non. Tirmidhi et Baihaqi, dans [Kitab] ad-Da’awat al-kabir, l’ont transmise.