وَعَنْ عَائِشَةَ قَالَتْ: إِنَّ رَسُولَ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ كَانَ إِذَا جَلَسَ مَجْلِسًا أَوْ صَلَّى تكلَّم بِكَلِمَاتٍ فَسَأَلْتُهُ عَنِ الْكَلِمَاتِ فَقَالَ:" إِنْ تُكُلِّمَ بِخَيْرٍ كَانَ طَابَعًا عَلَيْهِنَّ إِلَى يَوْمِ الْقِيَامَةِ وَإِنْ تُكُلِّمَ بِشَرٍّ كَانَ كَفَّارَةً لَهُ: سُبْحَانَكَ اللَّهُمَّ وَبِحَمْدِكَ لَا إِلَهَ إِلَّا أَنْتَ أَسْتَغْفِرُكَ وَأَتُوبُ إِلَيْكَ ". رَوَاهُ النَّسَائِيّ
Traduction

Buraida a rapporté que lorsque le Prophète est entré dans le marché, il a dit : « Au nom de Dieu. Ô Dieu, je te demande le bien de ce marché et le bien de ce qu’il contient, et je cherche refuge en toi contre son mal et le mal de ce qu’il contient. Ô Dieu, je cherche refuge en toi, de peur d’y faire une mauvaise affaire. Baihaqi l’a transmis dans [Kitab] ad-Da' awat al-kabir.