عَنِ الْقَعْقَاعِ: أَنَّ كَعْبَ الْأَحْبَارِ قَالَ: لَوْلَا كَلِمَاتٌ أَقُولُهُنَّ لَجَعَلَتْنِي يَهُودُ حِمَارًا فَقِيلَ لَهُ: مَا هُنَّ؟ قَالَ: أَعُوذُ بِوَجْهِ اللَّهِ الْعَظِيمِ الَّذِي لَيْسَ شَيْءٌ أَعْظَمَ مِنْهُ وَبِكَلِمَاتِ اللَّهِ التامَّاتِ الَّتِي لَا يُجاوزُهنَّ بَرٌّ وَلَا فاجرٌ وَبِأَسْمَاءِ اللَّهِ الْحُسْنَى مَا عَلِمْتُ مِنْهَا وَمَا لَمْ أَعْلَمْ مِنْ شَرِّ مَا خَلَقَ وَذَرَأَ وبرأ. رَوَاهُ مَالك
Traduction
Muslim b. Abu Bakra a dit
Mon père avait l’habitude de dire à la fin de la prière : « Ô Dieu, je cherche refuge en toi contre l’infidélité, la pauvreté et le châtiment dans la tombe. » J’avais l’habitude de dire ces paroles aussi, alors il m’a demandé : « De qui as-tu reçu cela, fiston ? » Quand je lui ai dit que je l’avais obtenu de lui, il a dit que le messager de Dieu avait l’habitude de dire ces paroles à la fin de la prière. Nasa’i et Tirmidhi l’ont transmise, mais ce dernier n’a pas mentionné « à la fin de la prière ». Ahmad a transmis la formulation de la tradition, mais il l’a fait, « à la fin de chaque prière ».