عَنِ ابْنِ عُمَرَ قَالَ: نَهَى رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ عَنِ الْمُزَابَنَةِ: أَنْ يَبِيع تمر حَائِطِهِ إِنْ كَانَ نَخْلًا بِتَمْرٍ كَيْلَا وَإِنْ كَانَ كرْماً أنْ يَبيعَه زبيبِ كَيْلَا أَوْ كَانَ وَعِنْدَ مُسْلِمٍ وَإِنْ كَانَ زَرْعًا أَنْ يَبِيعَهُ بِكَيْلِ طَعَامٍ نَهَى عَنْ ذلكَ كُله. مُتَّفق عَلَيْهِ. وَفِي رِوَايَةٍ لَهُمَا: نَهَى عَنِ الْمُزَابَنَةِ قَالَ: " والمُزابنَة: أنْ يُباعَ مَا فِي رُؤوسِ النَّخلِ بتمْرٍ بكيلٍ مُسمَّىً إِنْ زادَ فعلي وَإِن نقص فعلي)
Traduction
Il a dit que le Messager de Dieu a interdit muhaqala, muzabana, mukhabara, mu’awama (Vendre une récolte d’un an avant que la récolte n’ait poussé, ou vendre les fruits sur ses palmiers deux ou trois ans à l’avance.) et thunya (Une exception dont le montant n’est pas connu avec précision.), mais a donné licence pour 'araya (Pluriel de 'ariya. Un palmier attribué par son propriétaire à un autre qui est dans le besoin, pour qu’il puisse manger ses fruits pendant un an. On dit qu’un pauvre homme qui n’avait pas d’argent pour acheter des dattes fraîches pouvait acheter les fruits sur un palmier pour des dattes sèches.) Muslim l’a transmise.