عَنِ ابْنِ عُمَرَ قَالَ: قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «مَنِ ابْتَاعَ نَخْلًا بَعْدَ أَنْ تُؤَبَّرَ فَثَمَرَتُهَا لِلْبَائِعِ إِلَّا أَنْ يَشْتَرِطَ الْمُبْتَاعُ وَمَنِ ابْتَاعَ عَبْدًا وَلَهُ مَالٌ فَمَالُهُ لِلْبَائِعِ إِلَّا أَنْ يَشْتَرِطَ الْمُبْتَاعُ» . رَوَاهُ مُسلم وروى البُخَارِيّ الْمَعْنى الأول وَحده
Traduction
'A’isha a déclaré que Barira est venue lui dire qu’elle s’était arrangée pour acheter sa liberté pour neuf uqiyas ; un à payer annuellement, et lui demandant de l’aider. 'Aïcha répondit : « Si ton peuple est disposé à ce que je les compte tous à la fois et que je te libère, je le ferai et j’aurai le droit d’hériter de toi. » Elle est allée vers son peuple, mais ils ont insisté sur le fait que le droit d’hériter d’elle devait leur appartenir, alors le Messager de Dieu a dit : « Prenez-la et libérez-la. » Puis il se leva au milieu du peuple, et après avoir loué et exalté Dieu, il dit : « Poursuivez
Qu’est-ce qui se passe avec les gens qui créent des conditions qui ne sont pas dans le Livre de Dieu ? Toute condition qui n’est pas dans le Livre de Dieu est sans valeur. Même s’il y a cent conditions, la décision de Dieu est plus valide et la condition de Dieu est plus contraignante. Le droit d’héritage n’appartient qu’à celui qui a rendu la liberté à l’homme. (Bukhari et Muslim.)