عَنْ عَائِشَةَ قَالَتْ: قَالَ النَّبِيُّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «إِنَّ أَطْيَبَ مَا أَكَلْتُمْ مِنْ كَسْبِكُمْ وَإِنَّ أَوْلَادَكُمْ مِنْ كَسْبِكُمْ» . رَوَاهُ التِّرْمِذِيُّ وَالنَّسَائِيُّ وَابْنُ مَاجَهْ. وَفِي رِوَايَةِ أَبِي دَاوُدَ وَالدَّارِمِيِّ: «إِنَّ أَطْيَبَ مَا أَكَلَ الرَّجُلُ مِنْ كَسْبِهِ وَإِنَّ وَلَده من كَسبه»
Traduction

Muhayyisa a dit qu’il avait demandé la permission au Messager de Dieu concernant la location du cupper, mais il le lui a interdit. Il ne cessa de lui demander la permission, et à la fin il lui dit : « Nourris-toi avec ton chameau d’abreuvement et nourris-en tes esclaves. » *Malik, Tirmidhi, Abu Dawud et Ibn Majah l’ont transmis.* Ibn Abd al-Barr (Isti’ab, p. 286) dit que Muhayyisa avait un esclave appelé Nafi' Abu Taiba qui était un cupper. À la p. 654, il dit que le nom d’Abou Taiba était Dinar, ou Nafi', ou Maisara, mais Dieu sait mieux. Dans cette tradition, il est dit à Muhayyisa qu’il ne peut pas appliquer à son usage privé tout ce que son esclave a gagné pour les ventouses.