عَنْ أَبِي خَلْدَةَ الزُّرَقِيِّ قَالَ: جِئْنَا أَبَا هُرَيْرَةَ فِي صَاحِبٍ لَنَا قَدْ أَفْلَسَ فَقَالَ: هَذَا الَّذِي قَضَى فِيهِ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «أَيُّمَا رَجُلٍ مَاتَ أَوْ أَفْلَسَ فَصَاحِبُ الْمَتَاعِ أَحَقُّ بِمَتَاعِهِ إِذَا وَجَدَهُ بِعَيْنِه» . رَوَاهُ الشَّافِعِي وَابْن مَاجَه
Traduction
Al-Bara' b. 'Azib a rapporté que le Messager de Dieu a dit : « Un débiteur est lié à sa dette et se plaindra à son Seigneur de la solitude au jour de la résurrection. » Il est transmis dans Charh as-sunna. Une tradition mursale est transmise à l’effet que Mu’adh était endetté et que ses créanciers sont allés voir le Prophète qui a vendu tous ses biens pour payer sa dette, de sorte que Mu’adh n’avait plus rien. C’est la formulation d’al-Masabih, mais la seule source dans laquelle je l’ai trouvée est al-Muntaqa.