عَنْ أَبِي خَلْدَةَ الزُّرَقِيِّ قَالَ: جِئْنَا أَبَا هُرَيْرَةَ فِي صَاحِبٍ لَنَا قَدْ أَفْلَسَ فَقَالَ: هَذَا الَّذِي قَضَى فِيهِ رَسُولُ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ: «أَيُّمَا رَجُلٍ مَاتَ أَوْ أَفْلَسَ فَصَاحِبُ الْمَتَاعِ أَحَقُّ بِمَتَاعِهِ إِذَا وَجَدَهُ بِعَيْنِه» . رَوَاهُ الشَّافِعِي وَابْن مَاجَه
Traduction

'Amr b. 'Auf al-Muzani a rapporté que le Prophète a dit : « La réconciliation est permise entre les musulmans, sauf si elle rend illicite quelque chose qui est licite, ou qui rend licite quelque chose qui est illicite ; et les musulmans doivent s’en tenir aux conditions qu’ils ont posées, à l’exception d’une condition qui rend illégal quelque chose qui est licite, ou qui rend licite quelque chose qui est illégal. Tirmidhi, Ibn Majah et Abou Dawud l’ont transmise, mais la transmission d’Abou Dawud s’est terminée aux « conditions qu’ils ont créées ».