عَن سعيد بْنِ زَيْدٍ عَنِ النَّبِيِّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ أَنَّهُ قَالَ: «من أحيى أَرْضًا مَيْتَةً فَهِيَ لَهُ وَلَيْسَ لِعِرْقٍ ظَالِمٍ حق» . رَوَاهُ أَحْمد وَالتِّرْمِذِيّ وَأَبُو دَاوُد
وَرَوَاهُ مَالِكٌ عَنْ عُرْوَةَ مُرْسَلًا. وَقَالَ التِّرْمِذِيُّ: هَذَا حَدِيثٌ حَسَنٌ غَرِيبٌ
Traduction
Sa’id b. Zaid a rapporté que le Prophète a dit : « Si quelqu’un rend fertile une terre stérile, elle lui appartient, mais aucun droit n’appartient à celui qui plante injustement sur une terre qu’un autre a mise en culture* ». Ahmad, Tirmidhi et Abu Dawud l’ont transmis, et Malik l’a transmis sous forme mursale sur l’autorité de 'Urwa. Tirmidhi a dit qu’il s’agit d’une tradition hasan gharib.*'Irq zalim, la traduction littérale serait « une racine injuste. » La traduction donnée ci-dessus représente le sens général de l’expression.