عَنْ عَائِشَةَ رَضِيَ اللَّهُ عَنْهَا عَنِ النَّبِيِّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ قَالَ: «مَنْ عَمَرَ أَرْضًا لَيْسَتْ لِأَحَدٍ فَهُوَ أَحَقُّ» . قَالَ عُرْوَةُ: قَضَى بِهِ عُمَرُ فِي خِلَافَتِهِ. رَوَاهُ الْبُخَارِيُّ
Traduction

'Urwa a dit qu’az-Zubair avait eu un différend avec l’un des Ansar au sujet des ruisseaux dans la plaine de lave, et le Prophète a dit : « Arrose ton sol, Zubair, puis laisse l’eau couler jusqu’à ton prochain. » Les Ansari dirent : « C’est parce qu’il est ton cousin. » Là-dessus, son visage changea de couleur et il dit : « Arrose ton sol, Zubair, puis retiens l’eau jusqu’à ce qu’elle retourne au remblai, et ensuite laisse-la couler vers ton voisin. » Ainsi, le Prophète a tenu compte du droit d’az-Zubair par la décision claire lorsque les Ansari l’ont mis en colère et qu’il leur a donné des conseils qui auraient rendu les choses faciles pour tous les deux. (Bukhari et Muslim.)