عَنِ الْحَسَنِ عَنْ سَمُرَةَ عَنِ النَّبِيِّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ قَالَ: «مَنْ أَحَاطَ حَائِطًا عَلَى الْأَرْضِ فَهُوَ لَهُ» . رَوَاهُ أَبُو دَاوُدَ
Traduction

Abyad b. Hammal al-Ma’ribi a dit qu’il est venu voir le Messager de Dieu et lui a demandé de lui attribuer le sel qui était dans Ma’rib*, ce qu’il a fait. Lorsqu’il s’est détourné, un homme lui a dit : « Messager de Dieu, tu lui as attribué l’eau de source vivace », alors il la lui a reprise. Il demanda la terre où poussaient des araks (arbres épineux dont se nourrissent les chameaux), et il dit qu’il pourrait en avoir au-delà de la région où les chameaux allaient. Tirmidhi, Ibn Majah et Darimi l’ont transmise.* Cette ville était la capitale des Sabéens dans le Yémen, célèbre pour son barrage.