عَنْ عَبْدِ اللَّهِ بْنِ عَمْرٍو أَنَّ رَسُولَ اللَّهِ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ قَالَ:" أَلَا إِنَّ دِيَةَ الْخَطَأِ شِبْهِ الْعَمْدِ مَا كَانَ بِالسَّوْطِ وَالْعَصَا مِائَةٌ مِنَ الإِبلِ: مِنْهَا أربعونَ فِي بطونِها أولادُها ". رَوَاهُ النسائيُّ وَابْن مَاجَه والدارمي وَرَوَاهُ أَبُو دَاوُد عَنهُ وَابْن مَاجَه وَعَن ابْن عمر. وَفِي «شَرْحِ السُّنَّةِ» لَفْظُ «الْمَصَابِيحِ» عَنِ ابْنِ عمر
Traduction

'Amr b. Shu’aib, sur l’autorité de son père, a dit que son grand-père a raconté que le Messager de Dieu a dit au cours d’un discours l’année de la Conquête : « Ô peuple, il n’y a pas de confédération dans l’Islam, mais celle qui existait à l’époque préislamique est rendue encore plus forte par l’Islam. Les croyants sont une bande contre les autres, le plus humble d’entre eux donne une protection comme de tous, le plus éloigné d’entre eux renvoie le butin, leurs expéditions le renvoyant à ceux qui sont chez eux. Un croyant ne sera pas tué pour un infidèle. L’esprit de sang d’un infidèle est la moitié de celui d’un musulman. Il ne doit pas y avoir d’apport d’animaux pour être évalués pour la zakat, ni ils ne doivent être emmenés dans leurs pâturages, mais les sadaqat ne doivent être reçus que dans leurs demeures. Abou Dawud l’a transmise.* Ici, le contexte semble exiger cette traduction, mais cf. p. 739, n° 1.