عَنْ أَنَسٍ قَالَ: مَرَّ النَّبِيُّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ بِتَمْرَةٍ فِي الطَّرِيقِ فَقَالَ: «لَوْلَا أَنِّي أَخَافُ أَنْ تَكُونَ مِنَ الصَّدَقَةِ لأكلتها»
Traduction

'A’isha a dit que trois sunnas concernaient Barira.* L’une était qu’elle était devenue libre et qu’on lui avait donné le choix concernant son mari. Le messager de Dieu a dit : « Le droit d’héritage d’un esclave affranchi appartient à celui qui l’a affranchi. » * Le messager de Dieu entra une fois alors que la marmite bouillait avec de la viande dedans, et on lui présenta une partie du pain et des condiments qui se trouvaient dans la maison. Il demanda : « N’ai-je pas vu une marmite contenant de la viande ? » et on lui répondit : « Oui, mais c’est de la viande qui a été donnée comme sadaqa à Barira et vous ne mangez pas la sadaqa. » Il a répondu : « C’est la sadaqa pour elle et un cadeau pour nous. » *** (Bukhari et Muslim.) * Une esclave que 'A’isha a achetée et libérée.** Le contexte montre que ces paroles auraient été prononcées en relation avec Barira.*** C’est la partie de la tradition qui la rend pertinente dans ce chapitre, car elle déclare que celui qui ne peut pas recevoir légalement la sadaqa peut accepter comme un don la sadaqa qui a été reçue par celui qui peut légalement la recevoir.